Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Les Brebis et les Boucs ou « le Jugement des Nations » est une déclaration de Jésus formulée dans le chapitre 25 de l'Évangile selon Matthieu, bien que différente de la plupart des paraboles, elle ne prétend pas raconter une histoire arrivant à d'autres personnages[1]. Selon le théologien anglican Charles Ellicott,
« nous parlons généralement de la partie finale de ce chapitre comme la parabole des Brebis et des Boucs, mais il est évident qu'à partir de son réel commencement, elle dépasse le domaine de la parabole pour entrer dans celui des réalités divines, et les brebis et les boucs ne forment qu'une illustration subordonnée et entre parenthèses. »
Cette histoire et la parabole des vierges sages et la parabole des talents dans le même chapitre « ont le même objectif, comme inculquant aux disciples la nécessité à la fois de vigilance et d'activité dans le bien, mais chacun a… une vraie portée distincte. »